38e CHAMPIONNAT DE FRANCE DE PETANQUE DES JOURNALISTES DE SPORT - UJSF

Rendez-vous les 22 et 23 mai 2018, à Palavas-les-Flots

Pour sa 38e édition, le championnat de France de pétanque des journalistes

sportifs est de retour dans l’Hérault et plus précisément à Palavas-les-Flots,

ville chère à Albert Dubout et aux groupe Pink floyd (les flamants roses…).

L'occasion pour plus d’une centaine de journalistes de découvrir ou

redécouvrir cette commune du rivage méditerranéen, où se déroula en 2006

un mémorable championnat de France.

Organisée par la section Occitanie de l’UJSF, avec le soutien de la Ville de

Palavas-les-Flots et du département de l’Hérault, la compétition se déroulera

en doublettes au Boulodrome de club Palavas-Pétanque et se disputera

selon les règles de la FFPJP.

Un concours complémentaire est prévu pour les éliminés du premier jour.

L’épreuve est réservée exclusivement aux journalistes et pigistes

professionnels détenteurs de la carte d’identité des journalistes

professionnels, de la carte AIPS ou d’une carte du ministère des Affaires

Etrangères et aux journalistes honoraires.

INSCRIPTIONS

85 euros pour les journalistes / 85 euros pour les accompagnants

Cette somme comprend les déjeuners, le dîner de gala, la nuit

d’hébergement et le petit-déjeuner.

Les chèques sont à établir à l’ordre du CLUB DE LA PRESSE SPORTIVE

DU LANGUEDOC-ROUSSILLON et doivent être retournés avec le bulletin

d’inscription à :

LE MIDI LIBRE

A l’attention de Richard GOUGIS,

Service des sports

Le Mas de Grille,

34430 SAINT JEAN DE VEDAS

Date limite d’inscription : le mercredi 9 mai

(aucun engagement ne sera pris au-delà de cette date).

CONTACTS

Richard Gougis

Tél. 06 70 64 99 02

[email protected]

Michel Rouvière

Tél. 06 88 97 11 18

[email protected]

LE PROGRAMME

Mardi 22 mai

- 10 h à 12 h : accueil des participants au boulodrome de Palavas Pétanque,

51, route de Maguelone, 34250 Palavas-les-Flots.

- 12 h : apéritif

- 12 h 45 : déjeuner

- 14 h 15 : photo des participants

- 14 h 30 : début de la compétition

- 15 h : visite du Musée Albert-Dubout, à la Redoute de Ballestrass

- 19 h 30 : apéritif et diner de gala

Mercredi 23 mai

- 9 h : reprise de la compétition

- 10 h : visite du musée du Patrimoine

- 12 h : apéritif

- 12 h 45 : déjeuner

- 14 h 30 : demi-finales et finale et remise des prix dans la foulée


Save the date: notre assemblée générale le lundi 30 avril à Anse

Bien le bonjour à tous,

La date approche à grands pas. Aussi, le bureau de l'UJSFRA vous remercie d'ores et déjà de la bloquer sur vos agendas: l'Assemblée Générale de la section Rhône-Alpes de l'UJSF aura lieu le lundi 30 avril 2018  prochain, soit dans un mois jour pour jour.

Cette année, comme de coutume, nous avons décidé de joindre l'utile à l'agréable, en organisant un tournoi de foot en salle chez Florent Balmont à Anse.

Copier-coller le plan d'accès ci-dessous:

https://www.google.com/maps/place/1050+Avenue+de+Lossburg,+69400+Anse/@45.94195,4.7167293,17z/data=!3m1!4b1!4m5!3m4!1s0x47f48fe87ad3972b:0xf3a65614eee7c0d3!8m2!3d45.94195!4d4.718918?hl=fr

Le joueur devrait même nous faire l'honneur de sa présence le matin avant de rejoindre Dijon pour son entrainement l'après-midi. Son établissement possède un restaurant où nous pourrons prolonger par un déjeuner nos travaux. Pour des raisons d'organisation, nous avons besoin de savoir qui pense venir jouer et déjeuner, assez rapidement.

L'UJSF-RA prendra bien entendu en charge le repas pour toutes les personnes ayant la carte Sport Presse.

Une participation financière (symbolique) pourrait vous être demandée pour l'utilisation des terrains couverts, en fonction du résultat des négociations que nous menons actuellement.

Merci donc de nous faire connaître au plus tôt vos intentions.

NOM:

PRENOM:

Participera à l'AG : OUI - NON

Futsal: OUI - NON

Déjeuner: OUI - NON

Réponse à retourner à [email protected]


L’UJSF-RA apporte son total soutien à Antoine Osanna et aux confrères injustement dénigrés par M. Jean-Michel Aulas, président de l'Olympique lyonnais

La section Rhône-Alpes de l’Union des Journalistes de Sport en France (UJSF) s’émeut de l’attaque puérile portée contre nos confrères, et en particulier du Progrès, par M. Jean-Michel Aulas, président de l’Olympique lyonnais, tandis que la délégation olympienne rentrait ce jeudi de Moscou. Sur le fond comme sur la forme.

Sur le fond, sans remettre en cause la qualité des prestations fournies à bord du Boeing affrété par le club, il est intellectuellement malhonnête de laisser entendre que les journalistes qui suivent l’OL ont effectué ce déplacement aux frais du club, quand il leur a été facturé 1200€ par tête. En tout état de cause, les conditions de ce voyage, comme « la proximité des joueurs et dirigeants », ne sauraient en rien limiter, sous ce prétexte, la liberté d’expression des confrères incriminés et gravement dénigrés puisque présentés comme des profiteurs « n’ayant pas la reconnaissance du ventre».

C’est sans doute l’époque qui le veut, mais M. Aulas se méprend, et de manière bien trop grossière pour être totalement crédible, sur les notions « d’information » et de « communication ».

Sur la forme, il est tout aussi incongru d’illustrer ce propos parfaitement déplacé avec la photo d’un confrère prise sans son consentement, en tout cas pas à cette fin.

L’UJSF-RA dénonce très vigoureusement une telle manipulation en apportant son total soutien aux confrères et médias injustement et dangereusement mis en cause, une semaine après une première série de tweets injurieux envers deux autres confrères du Progrès, et celui dégradant qui s’est attaqué au physique du consultant d’Olympique et Lyonnais.

Une attitude d’autant moins compréhensible que l’UJSF-RA a toujours entretenu les meilleures relations avec l’Olympique lyonnais, dans une démarche constructive et dans le respect du champ de compétences de chacune des parties.

Par ce communiqué, l’UJSF-RA salue la solidarité de l’ensemble des confrères qui ont exprimé leur désapprobation contre de telles pratiques en abandonnant la salle de conférence de presse du Groupama Stadium ce jour, sans poser de question.


Prix interrégionaux LCL-UJSF: bravo à notre Maxime Jegat régional !

Le jury du prix interrégional LCL-UJSF Auvergne – Bourgogne - Rhône-Alpes du meilleur article de sport et de la meilleure photo de sport s'est réuni, mardi 21 novembre, à Clermont-Ferrand.

Vingt-neuf articles étaient en lice, ainsi que seize photos. Le prix du meilleur article revient à Stéphanie Merzet (Sports Auvergne) pour son sujet sur "José ange gardien du stade Michelin" (à lire en bas de page). Un texte rédigé en début d'année et dont le personnage central vient malheureusement de décéder il y a une quinzaine de jours seulement. Triste coïncidence. Didier Cros (La Montagne) termine deuxième avec "Quand l'arbitrage ouvre les horizons", un texte sur la réinsertion de certains détenus via le football et l'arbitrage. Enfin, la troisième place revient à Michaël Rigollet (Le Journal de Saône-et-Loire) pour son portrait de Jean-Denys Choulet, l'irrésistible "grande gueule" au grand cœur.

Le prix de la meilleure photo est attribué à Richard Brunel (La Montagne) pour l'essai de Raka face à Toulon. PREMIER PRIX

La deuxième place revient à Maxime Jegat (Le Progrès) pour son cliché sur le raid VTT Saint-Etienne - Lyon. DEUXIEME PRIX

A la troisième place, on retrouve Richard Brunel (La Montagne) pour sa photo de Sandi Morris au All Star Perche de Clermont-Ferrand. TROISIEME PRIX

Ces photos sont "qualifiées" pour la finale nationale qui aura lieu avant la fin de l'année à Paris.

 

Merci à tous pour votre participation. SELECTION

 

Le jury s'est réuni ce mardi 21 novembre à Clermont-Ferrand dans les entrailles du stade Marcel-Michelin.

Pour mémoire (photo ci-dessous), le jury était composé de : UJSF LCL 2017

- Laurence Castet, conseillère sport DRJSCS (championne de France de kayak de descente ; vice-championne du monde individuelle 1995 et 1996 ; championne du monde par équipe (1989, 1991, 1993, 1995, 1996, 2000).
- Isabelle Fijalkowski, cadre technique sportif Auvergne FFBB (ex-internationale de basket 204 sélections, championne de France et vainqueur de l'Euroligue avec Bourges, championne d'Italie, championne d'Europe avec la France).
- Caroline Thomas, internationale française de rugby à 15 (demi-finaliste de la Coupe du monde 2017 en Irlande).
- Et complété par Yan Duhamel, service sponsoring de LCL , Philippe Brandely, directeur régional (LCL Auvergne), Manuel Caillaud, lauréat du meilleur article 2016, Philippe Bruchot, lauréat de la meilleure photo 2016, Emmanuel Marquez (UJSF Rhône-Alpes), Christian Moccozet (UJSF Bourgogne), Jean-François Nunez, (UJSF Auvergne).

Yan Duhamel (à gauche) a profité de l'occasion pour remettre leurs lots à Manuel Caillaud et Philippe Bruchot, les finalistes 2016, en compagnie de M. Brandely (à droite).

LCL 2016

Voici le texte "gagnant" et sélectionné pour la finale nationale, de Stéphanie Merzet pour son sujet sur "José ange gardien du stade Michelin". Bonne lecture !

Sports Auvergne n° 66 Décembre 2016/Janvier 2017

JOSÉ ANGE GARDIEN
LES CLÉS DU MICHELIN

Il est le gardien du temple du rugby auvergnat depuis 1987. En trente ans, José a vu les murs du stade considérablement évoluer, tout comme le rugby. Quant à lui, il est toujours resté le même. D’un tour de clé, il nous confie ses souvenirs.

Vous avez peut-être traversé la pelouse du stade Marcel Michelin en courant après un match, un grand sourire accroché aux lèvres. Eh bien sachez que pendant ce temps, il est fort probable qu’une autre personne devait s’arracher les cheveux, alors que dans l’insouciance la plus totale, vous piétiniez sur son terrain de jeu et son précieux gazon. Cet homme, c’est José Bernardes. Il est arrivé en France avec sa famille en 1965. Il a ainsi quitté le Portugal, la patrie du foot, pour venir en Auvergne, terre de rugby… Mais à l’époque, l’ovalie était pour lui une science assez obscure. Il a seulement commencé à s’intéresser à ce sport quand Michelin lui a proposé de s’occuper du stade éponyme : « C’était en 1987. Je travaillais à cette période comme ouvrier à la Combaude. Ils voulaient que j’entretienne la pelouse, alors que je n’étais pas vraiment un expert des espaces verts ! J’avais tout juste chez moi un potager », explique-t-il en riant. Mais José s’adapte très bien à ses nouvelles missions et se voit même doté d’une petite maison au pied du stade dans laquelle il installe femme et enfants. « On m’avait donné en fait comme poste celui de concierge. Je devais ouvrir le stade le matin, le fermer le soir, nettoyer les tribunes, tracer les lignes sur les terrains… Il fallait que je sois tout le temps présent. » Du lundi au dimanche, 24 heures sur 24 et toute une vie dédiée à l’un des plus célèbres stades de l’Hexagone.

Le temps de l’éponge magique
Si le stade n’a eu de cesse de se transformer depuis son arrivée, ce qui se passe sur le terrain les jours de match aujourd’hui n’a plus rien à voir également par rapport à autrefois. Ces jours d’antan, José devait courir autant qu’un joueur sur le terrain et porter différentes casquettes : ramasseur de balle, assistant médical, responsable du ravitaillement… « Au cours de la semaine qui précédait la rencontre du week-end, j’allais acheter des citrons et des oranges. Je les mettais dans une panière et je les servais moi-même aux joueurs à la mi-temps qui, à l’époque, restaient sur le terrain. De nos jours, ils ont des boissons et des barres alimentaires bien plus spécifiques ! », se souvient-il avec un brin de nostalgie. Avant 1999 et que la tribune Auvergne ne soit construite, le stade possédait une tribune beaucoup plus petite et beaucoup moins haute. Il s’agissait de “la Populaire” : « Il n’était pas rare que je doive prendre mon échelle pour accéder à son toit afin de récupérer le ballon pendant les matches. Je courrais aussi dans les jardins des maisons avoisinantes pour aller le chercher. Nous disposions que de quatre ou cinq ballons, il n’y avait donc pas le choix ! » se souvient-il avant de poursuivre : « Je m’occupais aussi du sceau et de la fameuse “éponge magique”. Les blessés du début de la rencontre avaient la chance de bénéficier d’une eau fraîche et propre, tandis que les autres profitaient de la sueur et du sang de leurs partenaires… Aujourd’hui, avec les mesures d’hygiène et de santé, ça n’existe plus ! »

D’autres locataires au Michelin
Lors de ces week-ends avant les années 2000, le Michelin se partageait avec le foot. D’abord avec le Clermont Football Club, qui, dans les années 80, attirait les foules avec l’entraîneur joueur Andrzej Szarmach et la présence du légendaire Serge Chiesa. Ce fut ensuite à l’ASM Football d’investir les lieux. « Mais l’ambiance du rugby me plaisait beaucoup plus », avoue sans détour José. Il se souvient également de l’époque où d’autres locataires un peu incongrus venaient s’entraîner sur la pelouse du grand complexe clermontois : un club de pêche à la mouche. « Ils venaient une fois par semaine, préparaient leur matériel dans une salle, puis lançaient leur fil de pêche le plus loin possible sur le terrain… ». Et puis, il y a eu aussi quelques squatteurs d’une nuit… « Quand il n’y avait pas d’arrosage automatique, je me levais à deux heures du matin pour déplacer le canon à eau. Une fois, j’ai vu des jeunes partager un verre au milieu du terrain. Mais, ce n’est arrivé qu’une fois ! ». Et pour ceux qui seraient éventuellement tentés d’organiser un pique-nique romantique au clair de lune au coeur du stade, sachez qu’aujourd’hui, il n’est plus possible d’y pénétrer ainsi (on vous aura prévenu !).

Jour de neige
Le gardien du stade a toujours scruté la météo avec attention, surtout en période hivernale. Ce livre ouvert de l’histoire du Michelin nous raconte “ses défis” face au manteau neigeux et au froid : « Il y a deux rencontres qui m’ont marqué, l’une face à Bayonne en 2005. On avait commencé à déneiger le matin et les gars de l’Aviron Bayonnais étaient persuadés qu’il serait impossible de jouer. Pourtant, en début d’après-midi, tout était dégagé, nous avions réussi. L’autre face au Racing en 2012. L’hiver avait été plutôt rigoureux. Ici, nous avions pu assurer la rencontre face au club parisien alors que le soir même, le match de l’équipe de France face à l’Irlande dans le cadre du tournoi des VI nations avait été annulé pour cause de terrain gelé. De notre côté, nous avions chauffé et bâché le terrain durant toute la nuit qui précédait le match. Les gens de la fédé voulaient même venir à Clermont pour voir comment on s’y était pris. » Qu’il pleut, qu’il vente ou qu’il neige, José s’est mis un point d’honneur à ce que les matches aient toujours lieu.

Les années glorieuses
Parmi ses souvenirs les plus émouvants, José ne peut s’empêcher de se remémorer l’année 1994. Cela faisait seize années que le club n’avait pas atteint la marche ultime de la finale. À cette occasion, des écrans géants avaient été installés dans la forteresse de Montferrand. « Une nombreuse foule avait envahi le stade pour regarder la rencontre. Mais je me souviens surtout du lendemain. Saint-André et sa bande sont arrivés avec le bus au Michelin et ils se sont mis à pleurer en voyant tous ces supporters qui les accueillaient dans une grande ferveur. C’était très émouvant. » Évidemment, il est impossible de ne pas évoquer le 29 mai 2010. Un bout de la pelouse du Stade de France avait même été prélevé ce jour-là, que le sémillant gardien s’était empressé de greffer sur le terrain des “jaune et bleu”. Des histoires, le jardinier peut vous en raconter à la pelle ! Mais ce qui restera planté dans la mémoire de José, c’est aussi ses nombreuses rencontres avec le staff et les joueurs. « Depuis qu’ils sont devenus professionnels, les joueurs passent leur journée au stade. Tous les matins, je leur dis bonjour. J’ai toujours eu beaucoup d’affinités avec ceux de Bourgoin ! Julien Pierre, Julien Bonnaire, Morgan Parra… Ce sont des gars qui aiment la nature. Mais, je m’entends très bien avec l’ensemble de toute l’équipe », insiste-t-il.
Aujourd’hui, la pelouse du Michelin bénéficie des meilleures technologies au monde, mélangeant gazon naturel et synthétique. Plus de mottes arrachées et d’herbe grasse en hiver. José peut enfin respirer ! Sa pelouse est sûrement l’une des plus belles de France. Alors, ne vous avisez pas de la piétiner après un match, le gardien du temple a l’oeil.


Prix LCL du meilleur article sportif et le Prix LCL de la meilleure photo sportive 2017 : le sprint est lancé !



Chaque année, le Prix national LCL-UJSF récompense les deux journalistes ayant écrit le meilleur article et pris la plus belle photo de sport. Les lauréats nationaux seront désignés courant janvier 2018 à Paris et recevront chacun un chèque remis par LCL.

Mais avant cette finale nationale, place aux éliminatoires inter-régions. Cette année, l’organisation revient à nos confrères auvergnats. Le jury du Prix inter-régional Auvergne-Bourgogne-Rhône-Alpes se réunira ainsi le mardi 21 novembre 2017 à Clermont-Ferrand pour désigner la meilleure photo prise et le meilleur texte écrit au cours de cette année 2017.

Tous les journalistes de sports, membres de l’UJSF et travaillant pour un média auvergnat, bourguignon ou rhônalpin, peuvent participer.
Les candidats sont invités à faire parvenir leurs textes avant le MERCREDI 8 NOVEMBRE à minuit. Ou leurs photos avant le VENDREDI 17 NOVEMBRE.

- Les articles (deux au maximum par candidat) ne devront pas excéder huit feuillets, soit 12 000 signes. Ils devront porter la date de l’évènement décrit et la date de la parution dans le
support. Ils sont à envoyer par mail à l’adresse :
[email protected]

- Concernant les photos, chaque candidat peut en envoyer trois, en noir et blanc ou en couleur, dans le format unique 20x30 sous peine d’élimination. Les photos sont relatives
aux disciplines olympiques, fédérations nationales et affinitaires reconnues par le C.N.O.S.
Elles doivent être envoyées à l'adresse suivante :
Le Progrès
A l'attention d'Emmanuel Marquez
6, place Joubert
01 000 Bourg-en-Bresse

Attention, les épreuves soumises à concours ne sont pas restituées. Elles deviennent propriété de LCL.

N'oubliez pas de prendre connaissance du règlement 2017, ci-dessous, pour connaître les conditions de participation.

Téléchargement Reglement-LCL-2017